MAX LE VERRIER
depuis 1918

En 1923, MAX LE VERRIER réalise sa première danseuse d’après modèle vivant, recruté par une petite annonce passée chez un commerçant de la Rue du Commerce dans le 15ème arrondissement.
La petite « J » qui se présente, convient parfaitement au sujet, ancienne danseuse aux folies Bergères. En plus de sa rétribution pour les heures de pose, MAX LE VERRIER lui offre une sculpture en bronze. 50 ans plus tard, en 1978 Madame « J » se manifeste au téléphone : une voix de dame âgée ; « je suis Madame « J » qui a posé pour la DANSEUSE A LA COUPE et j’aimerai l’offrir à mes petits enfants ! » Tous les jeunes n’ont pas la chance d’avoir leur grand-mère en sculpture et dans un costume d’Eve. Madame « J » a accepté, 55 ans plus tard, de reprendre la pose pour une photo, habillée bien sûr, et seulement le temps d’un flash...